111 haïku, tout au long desquels Pierre Peuchmaurd nous lègue une poésie infiniment onirique, rendant visible un monde où tout (re)devient possible à nous* qu’un rien contrarie.
2005 – 48 p. assemblées en cahiers cousus, sous couverture à rabats – 11 x 17 cm
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La lumière est la blessure de l’ombre. Sa cicatrice aussi. L’ombre est le regret des choses. Ou leur vanité. La feuille, du haut de sa canopée, dort sur un matelas…
« En été, le moi doute »... Ainsi va Le Moineau par les cornes, le troisième recueil des Fatigues de Pierre Peuchmaurd. Ces « fragments » saisis çà et là au…
Tout au long de ce conte parabolique, « livre de nature et poème de la rivière », Sylvain et Ludovic Massé nous font vivre de l’intérieur le corps d’un torrent.…
« Quelle autre forme poétique mieux que le haïku peut traduire ce vertige de la sensation que rien n’encage, n’attrape, rétive à toute expression, ou du moins à toute assignation…