111 haïku, tout au long desquels Pierre Peuchmaurd nous lègue une poésie infiniment onirique, rendant visible un monde où tout (re)devient possible à nous* qu’un rien contrarie.
2005 – 48 p. assemblées en cahiers cousus, sous couverture à rabats – 11 x 17 cm
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« En été, le moi doute »... Ainsi va Le Moineau par les cornes, le troisième recueil des Fatigues de Pierre Peuchmaurd. Ces « fragments » saisis çà et là au…
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« Quatre récits de voyage – promenages – de l’auteur qui, en compagnie de membres de sa famille, entraîne le lecteur vers les horizons bretons, italiens, belges et pour finir…