“Aux confins de l’utopie et de la vérité,
c’est-à-dire en pleine vie…”André Breton, « Gradiva »
Des PAYS HABITABLES Naïveté – Utopie – Exubérance
paraît chaque année au printemps et à l’automne.
La revue met directement en présence des textes venus du passé pré-romantique jusqu’au surréalisme et ses alentours, et des textes contemporains partageant cet état d’esprit.
Des PAYS HABITABLES voudrait ainsi participer d’une sensibilité ininterrompue, marquée par le rêve, l’émerveillement, l’inspiration et, inséparablement, par la conscience de ce que le réel lui oppose de servitudes, de platitudes, de tourments.
Son sous-titre, « Naïveté – Utopie – Exubérance » {N.U.E.}, ces trois mots pourraient résumer son projet.
« … Les revues dada portaient quelque chose de l’électricité qui nimbait le monde technique et, finalement, guerrier de l’Occident des années 1910. Il serait étonnant que l’on ne voit pas que s’intituler Des PAYS HABITABLES et jaillir au moment où le “grand confinement” planétaire tente d’abattre un virus en lui retirant ses victimes, présente quelques points d’ancrage pour une réflexion sur notre civilisation et son rapport à l’espace. (…) La littérature n’est-elle pas le lieu où s’exprime le monde habitable ? »
« Naïveté, utopie et exubérance des PAYS HABITABLES », entretien avec Joël Cornuault, Mathieu Jung, avril 2024
« Des PAYS HABITABLES », entretien avec Joël Cornuault, créateur de la revue, Diacritik, oct. 2021
Extrait de « Des PAYS HABITABLES : “un point d’ancrage” »
par Éric Dussert, Ent’revues, avril 2020
Pour se procurer Des PAYS HABITABLES
Le blog de la revue et de la Librairie La Brèche, éditions
« Scaphandrier », collage Joël Cornault