“Une noix qui tombe
et le silence
se fait coquille”
Né en 1970 à Angers, Laurent Albarracin vit en Corrèze depuis 1995. Il commence à publier ses poèmes dans de petites structures éditoriales : ces premiers textes seront pour l’essentiel réunis dans Le Verre de l’eau (Le Corridor bleu, 2008). Parallèlement, il participe à l’aventure du Jardin ouvrier, la revue d’Ivar Ch’vavar (1995-2003). Il a notamment publié Le Secret secret (Flammarion, 2012), Résolutions (L’Oie de Cravan, 2012), Cela (Rougerie, 2016), Broussailles (L’Herbe qui tremble, 2017), Plein vent (Pierre Mainard, 2017), Res rerum (Arfuyen, 2018)…
Il est également l’auteur de deux études sur Louis-François Delisse (2009) et Pierre Peuchmaurd (2011) aux éditions des Vanneaux. Il dirige les éditions Le Cadran ligné, tient une chronique de poésie sur le site de Pierre Campion et anime, avec Guillaume Condello et Pierre Vinclair, la revue Catastrophes.
« Entretien avec Laurent Albarracin » par Florence Trocmé, Poezibao, sept. 2013