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Au chien sédentaire
8,00€111 haïku, tout au long desquels Pierre Peuchmaurd nous lègue une poésie infiniment onirique, rendant visible un monde où tout (re)devient possible à nous* qu’un rien contrarie. 2005 - 48… -
Giroflées compte quatre parties, les trois premières ont fait l’objet de publication dans des revues entre 1990 et 2004, dont Les Giroflées dans La N.R.F. en 1990. La quatrième, Vie…
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L’Ivre mort de lierre
8,00€Un ensemble de poèmes inédits qui nous rend encore bien vivantes la voix et l’œuvre de ce témoin élégant. Pour avoir respiré le vent des cavités nasales le vent insane, la… -
« ... un long poème lu une première fois, avec plaisir, en 1991 dans la revue Delta station blanche de la nuit. On y croise, de Nantes à Port-Royal et…
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Les poèmes qui composent ce livre, hormis D’une bête à poil qui est inédit, ont paru dans des revues ou de façon confidentielle. Confiés à l’éditeur en 2008, ils furent publiés…
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« En été, le moi doute »... Ainsi va Le Moineau par les cornes, le troisième recueil des Fatigues de Pierre Peuchmaurd. Ces « fragments » saisis çà et là au…
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Philippe Billé nous donne à lire ici un choix substantiel du recueil d’aphorismes La mariposa y la viga (Le Papillon et la Poutre) où se fait entendre une voix tout…
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Le Secret de ma jeunesse compte deux parties, la première, qui donne son titre au livre, fut publiée une première fois en 1993, de façon confidentielle, aux Éditions Haldernablou, la…
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Pierre Peuchmaurd qui a publié un grand nombre de poètes de sa génération, a contribué à faire découvrir l’extraordinaire Maurice Blanchard, en exaltant on ne peut mieux son surréalisme anarchiste dans…
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Orphée rebelle constitue certainement (avec les Poèmes ibériques, parus chez José Corti) le plus fort de l'œuvre poétique de Miguel Torga. Ce recueil fut publié la première fois en 1958…
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Douze poèmes, douze photos – six têtes de veaux, six moues de porcs. « Texte et image se font face, se côtoient. Mais sous ces dehors simples, c’est d’une confrontation…
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« Quelle autre forme poétique mieux que le haïku peut traduire ce vertige de la sensation que rien n’encage, n’attrape, rétive à toute expression, ou du moins à toute assignation…