« Après avoir passé sa jeunesse bohème à Chicago, Rexroth (1905-1982) vécut jusqu’à la fin de ses jours en Californie. De là, il partait, dès que cela lui était possible, explorer la nature et, en particulier, randonner en montagne, parfois non loin d’où John Muir était passé. Il en rapportait des poèmes contemplatifs et d’amour ; ou des élégies sociales en mémoire de son adolescence dans la rue… » (lire la suite)
« Kenneth Rexroth subjectivement considéré » par Joël Cornuault, paru dans la revue Catastrophe