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Dix, les trophées
10,00€« Je vous présente quelques relevés d’empreintes de fées, de ma forêt personnelle, en plein cœur... André Hardellet disait à propos des fées : “Elles guettent le promeneur qui leur… -
Un poème composé de 471 strophes dont chacune contient le nom Tour Eiffel : monument personnifié qui occupe, de façon obsédante, l’esprit et le corps d’un homme durant toute sa…
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Dans le jardin de mon père
11,00€C’est l’épopée d’un homme qui revient au pays. En chemin, il clame sa peine, provoque ce monde si plein de torpeur, et croise la mort : elle l’attend dans chacun… -
Angles morts
15,00€Sept ans après avoir défendu l’utilité de l’Inutile poésie, Àlex Susanna nous surprend à nouveau avec un recueil de poèmes dont l’image suggestive des « angles morts » constitue le… -
Grâce à Camden
4,50€« On peut lire le titre de deux manières, avec ce “grâce à...”, qui peut signifier : avec l’aide de... ; ou bien recevoir la... grâce. C’est la seconde acception… -
Écrivain de l’ombre
13,00€« Dans cet ouvrage, on découvrira le travail du grimaud, du rescripteur, du “nègre”, de l’écrivain à gages qui écrit au nom des autres. On y lira mon expérience, certes,… -
L’Île Flaubert
18,00€Comment un célibataire timoré, professeur de littérature en mal de reconnaissance officielle, a-t-il pu en venir à vivre en solitaire sur une petite île majorquine, rebaptisée Île Flaubert par référence… -
J’Aimerais voyager
4,50€« Un jour, disais-je, un jour je partirai pour Ville, Ville dans l’Oise ou Ville du Bas-Rhin, et puis de l’une à l’autre (et de Lunéville à Lautrec, une nuit… -
Nasbinals
10,50€« Élégiaque, tragique ou coquin, Claude Guerre répartit les dés des mots avec élégance et fouillis, retombant sur un rythme de pieds égaux, sur quelques rimes. Nasbinals, refrain du tout,… -
Inutile poésie
15,50€Il est bon de ne plus penser à la poésie, à la sienne et à celles des autres, de laisser la vie nous agripper sur les autoroutes ou sur le… -
Les Cernes du temps
12,20€Tout n’est pas nostalgie de son corps ni trouble de la peau solitaire ni angoisse au cœur de la nuit déserte, c’est aussi tout ce qui ne peut se dire…